🧑‍🔬Programme de la conférence > 👨‍🎓 Oratrices et orateurs

Vous trouverez ci-dessous la liste des orateurs confirmés à ce jour.

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Jean-Luc Anton (Centre IRM-INT, CNRS-AMU, Marseille, France)
Jean-Luc Anton est ingénieur de l’École Centrale de Paris et a obtenu un doctorat en Sciences Cognitives (Université Paris 6) en 1996, sur le thème de l'analyse de la variabilité dans les études d'IRM fonctionnelle cérébrale. Depuis 1998, il est ingénieur de recherche au CNRS, responsable opérationnel du Centre IRM de Marseille (inauguré en 2000) qui est devenu en 2012 la plateforme IRM de l’Institut de Neurosciences de la Timone (INT). Il est impliqué dans toutes les étapes des projets de recherche qui utilisent les installations du Centre IRM : en interaction avec les chercheurs, il aide à formuler les questions neuroscientifiques en tenant compte des contraintes méthodologiques ; en tant que responsable de l'équipe, il supervise les développements techniques comme la définition des séquences IRM, les dispositifs de stimulation et de monitorage et les logiciels d'analyse. Son principal domaine de compétence est l'analyse des données d'imagerie cérébrale et spinale, qu'il s'agisse de données anatomiques, fonctionnelles ou de diffusion. Depuis plusieurs années, l'équipe du Centre d'IRM a développé toutes les compétences ainsi que l'organisation technique et vétérinaire nécessaires à l'acquisition de données IRM de haute qualité chez les primates non humains.

 

Douraied Ben Salem (CHU Brest, France)
Douraied Ben Salem est Professeur de Neuroradiologie au CHU de Brest, il est rédacteur en chef du Journal of Neuroradiology  (organe officiel de la SFNR) et le porteur de la chaire université-entreprise MEGADORE (MEdical GADOlinium REcycling) au sein de l’Université de Bretagne Occidentale. Il est Vice chair de  l’ESNR Green Committee et membre du LaTIM (INSERM UMR 1101). 
Il travaille depuis quelques années sur la Radiologie Verte (Empreinte des produits de contraste [Gadolinium et Iode], Consommation électrique des IRM…).

 

Elodie Breton (ICube, Strasbourg, France)

Ingénieure de formation, Elodie Breton a soutenu une thèse de science sur l’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) à 0,1 T et l’imagerie multimodale du petit animal à l’université Louis Pasteur de Strasbourg en 2007. Après un post-doctorat portant sur l’IRM cardiaque clinique à la New York University, Elodie a rejoint l’Université de Strasbourg où elle mène ses projets de recherche en IRM interventionnelle pour le guidage des procédures minimalement invasives depuis 2011. Elodie Breton est actuellement responsable du projet d’IRM thérapeutique accessible à 0,55 T entre l’Université, les Hôpitaux Universitaires et l’IHU de Strasbourg.

 

Emmanuel Caruyer (CNRS, Rennes, France)
Emmanuel Caruyer est chercheur au sein de l'Équipe Empenn (Université de Rennes, CNRS, Inria, Inserm, IRISA UMR 6074), directeur scientifique de la plateforme Neurinfo et chercheur associé au Département Informatique de l'ENS Rennes. Son thème de recherche principal est l'IRM de diffusion, en particulier l'optimisation de l'acquisition et la validation des méthodes de tractographie et d'estimation de la microstructure.


Nicolas Coquery (INRAE, Rennes, France)
Nicolas Coquery est biologiste de formation. Après une thèse en neurosciences médicales, il s’intéresse à l’imagerie in vivo par IRM du gliomes chez le petit animal puis l’IRMf chez le modèle porcin dans le cadre du comportement alimentaire. Depuis 2018, au sein de l’équipe EAT (INRAE) de l’institut NuMeCan à Rennes, il s’intéresse à l’exploration par IRM chez l’humain des fonctions cérébrales impliquées dans le comportement alimentaire et ses pathologies associées, telle que l’obésité. 

 

Cristina Cudalbu (École polytechnique fédérale de Lausanne, Suisse)
Cristina Cudalbu a commencé son parcours académique en 2003 à l'Université Lyon 1, France, où elle a obtenu son doctorat en 2006. Jusqu'en 2012, elle a été chercheuse postdoctorale au Laboratoire d'imagerie fonctionnelle et métabolique de l'EPFL. Elle a ensuite rejoint le CIBM Center for Biomedical Imaging MRI EPFL Animal Imaging and Technology Section en tant que chercheuse et responsable opérationnelle de l'IRM 9.4T. En 2021, Cristina Cudalbu a été promue associée de recherche et d'enseignement (RTA) à la Faculté des sciences de base de l'EPFL et dirige le groupe MRS4Brain. En 2023, Cristina Cudalbu est promue Adjointe du CIBM MRI EPFL AIT et en 2024, Maître d'enseignement et de recherche (MER) à la Faculté des sciences de base de l'EPFL. Au cours de la dernière décennie, Cristina Cudalbu a développé de nouvelles lignes de recherche au CIBM qui sont orientées vers de nouvelles techniques d'acquisition et de quantification pour la SRM in vivo du proton, du phosphore, du carbone, de l'azote et l'imagerie métabolique rapide, la spectroscopie pondérée en diffusion et la quantification des macromolécules cérébrales. Elle applique actuellement ces développements à l'encéphalopathie hépatique chronique, un domaine de recherche qu'elle a également développé au CIBM.

 

Maxime Gauberti (Inserm, Caen, France)

Maxime Gauberti est neuroradiologue et a suivi un double cursus médecine / science (école de l'INSERM Liliane Bettencourt). Il a obtenu sa thèse de science en 2012 au sein de l'unité INSERM U919 au laboratoire Cyceron à Caen après avoir travaillé sur le diagnostic et le traitement des maladies neurovasculaires à l'aide de modèles précliniques. Il a ensuite poursuivi ses études de médecine puis réalisé un internat en radiologie au CHU de Caen, jusqu'à soutenir sa thèse de médecine en 2020 sur l'évolution des infarctus cérébraux en IRM après thrombectomie mécanique. Après 2020, il a travaillé comme neuroradiologue interventionnelle au CHU de Caen en tant que chef de clinique et comme chercheur post-doctoral au sein de l'unité INSERM U1237 à Cyceron, en développant une thématique originale sur l'immuno-IRM. Depuis 2022, il est directeur adjoint d'une équipe INSERM "tPA et pathologies neurovasculaires" où il anime un groupe qui développe de nouveaux agents de contraste pour l'imagerie moléculaire, notamment pour l'IRM, l'imagerie à particules magnétiques (MPI), la TEP et la photoacoustique.

 

Jacques Felblinger (IADI, CHRU Nancy, France)

Jacques Felblinger a une formation initiale en instrumentation et traitement de signal avec une thèse sur la détection automatique de la fibrillation ventriculaire qui équipe les défibrillateurs automatiques de la société Schiller. Il a débuté sa carrière en IRM à l’Université de Berne où il a développé plusieurs appareils compatibles IRM : système de monitorage de patient Maglife, un incubateur, un ergomètre, des capteurs de mouvements et un ECG optique. Il a également développé l’instrumentation pour la spectroscopie proton/carbone/phosphore cérébrale et cardiaque. Suite à un deuxième post-doctorat en neurosciences où il a travaillé sur l’étude des mouvements oculaires, il a obtenu en 2001 un poste de Professeur en imagerie médicale à l’Université de Nancy. Il a créé le laboratoire d’Imagerie Adaptative Diagnostique et Interventionnelle (IADI) en 2005 reconnu par l’INSERM. Parallèlement, il a créé en 2008 le Centre d’Investigation Clinique et Innovation technologique (CIC-IT) pour la validation et la valorisation de dispositifs médicaux dans un environnement IRM. En 2012, il fonde la société Healtis qui propose des solutions de validation de la compatibilité IRM des dispositifs médicaux. Avec le laboratoire IADI, il continue à développer de l’instrumentation innovante et des méthodes pour l’IRM. Le CIC-IT est impliqué dans de nombreux projets IRM mettant en œuvre des techniques d’acquisitions innovantes et du post-traitement des images. Depuis ses débuts en IRM, Jacques Felblinger est très impliqué sur les aspects sécuritaires en IRM.

 

Jean-Michel Franconi (RMSB, Bordeaux, France)

Jean-Michel FRANCONI est un expert en physique et en RMN. Il a débuté sa carrière en 1988 en tant qu’ingénieur d’application pour Siemens, contribuant au développement de l’IRM clinique en France. En 1998, il est devenu professeur d’Université à Bordeaux.  Depuis, il mène ses recherches au Centre de Résonance Magnétique des Systèmes Biologiques (UMR 5536 CNRS Université de Bordeaux). Ses travaux se concentrent sur les développements instrumentaux et méthodologiques en IRM/SRM. Ses principales réalisations concernent la caractérisation de divers mouvements et l‘ utilisation des gradients électromagnétiques pour le codage spatial et l’élastographie. Il est auteur de 6 brevets et de plus de 120 publications internationales. Il a créé de nouveaux cours en physique biologique et médicale et en métrologie/méthodologie. Il est l’initiateur d’une école thématique sur la physique de l’IRM, ayant formé plus de 600 stagiaires depuis 25 ans. Depuis 2003, il s’est impliqué dans une méthode de polarisation dynamique nucléaire à très bas champ qui améliore la sensibilité des mesures in vivo,  pour étudier des phénomènes biologiques et prédire l'efficacité des médicaments. Ses travaux lui ont permis de coordonner ou de participer à plusieurs projets européens dont un FETOPEN.

 

Ileana Jelescu (Hôpital universitaire de Lausanne, Suisse)

Ileana Jelescu est titulaire d'un double diplôme en physique de l'École polytechnique (France) et en physique médicale de l'Université McGill (Canada). Elle a obtenu un doctorat en physique à l'Université Paris-Saclay (France), travaillant sur la microscopie IRM fonctionnelle et de diffusion au niveau du neurone unique chez l'Aplysie. Elle a ensuite effectué un travail postdoctoral à la New York University School of Medicine et au Centre d'imagerie biomédicale de l'École polytechnique fédérale de Lausanne, sur la combinaison de l'IRM de diffusion avec la modélisation biophysique pour des applications cliniques et précliniques. En 2021, elle a rejoint l'hôpital universitaire de Lausanne en tant que professeur assistant, grâce à une bourse Eccellenza Professorial Fellowship du Fonds national suisse de la recherche scientifique et à un ERC Starting Grant.

Sa vision est de transformer le scanner IRM en un microscope quantitatif in vivo, capable de cartographier la microstructure et la fonction cérébrale chez l'homme à l'aide de l'IRM de diffusion. Ses recherches portent sur la modélisation biophysique théorique, la conception et la validation expérimentales et la traduction clinique. Elle présentera le chemin passionnant parcouru pour faire passer la quantification de la microstructure du cerveau du laboratoire au chevet du patient, avec des applications aux maladies neurodégénératives et psychiatriques, ainsi que de nouvelles pistes pour cartographier l'activité cérébrale à l'aide de l'IRM.

 

Philippe Massot (RMSB, Bordeaux, France)

Philippe MASSOT (CNRS, Bordeaux, France)  est un Ingénieur spécialisé en instrumentation IRM au Centre de Résonance Magnétique des Systèmes Biologiques (CRMSB – UMR5536, Bordeaux).  Son implication importante dans le développement et la mise en œuvre de la technique de rehaussement du signal à bas champ par effet Overhauser (OMRI à 0,2T) lui ont valu la médaille de cristal du CNRS en 2014. Cette technique utilisant saturation d’une transition électronique d’un agent de contraste de type Nitroxide par une onde radiofréquence, permet d’obtenir des rehaussements de signaux importants, jusqu’à un facteur 10, in-vivo,  et à la demande.   Il a été Lauréat avec JM Franconi du programme Européen H2020/FETOPEN avec le projet PrimoGAIA (2019-2023) pour le développement de l’OMRI à très bas champ (200µT) d’un échantillon de taille compatible avec une exploration « corps entier ».

 

Benjamin Marty (Institut de Myologie, Paris, France)

Benjamin Marty a obtenu sa thèse à NeuroSpin (CEA Saclay) en 2012 dans le cadre du projet européen Iseult/Inumac, sur le développement d'outils pour le diagnostic précoce des tumeurs cérébrales et de la maladie d'Alzheimer à l'aide de l'IRM moléculaire. Par la suite, il a rejoint le laboratoire de RMN à l'Association Institut de Myologie (AIM) en tant que postdoctorant, où il a travaillé sur des techniques de relaxométrie cardiaque et développé des approches d'IRM quantitative (qIRM) pour évaluer les tissus musculaires squelettiques. Depuis 2013, Benjamin occupe un poste de chercheur permanent à l'AIM, où il a dirigé plusieurs projets multidisciplinaires, explorant l’homéostasie et la biophysique musculaire grâce à l'IRM du sodium et à d'autres techniques avancées. Ces dernières années, il s'est concentré sur l'application de l’IRM ‘fingerprinting’ (MRF) aux muscles squelettiques. En 2019, il est devenu co-responsable du laboratoire RMN à l'AIM et continue à piloter des projets innovants en qIRM musculaire pour des applications cliniques. 

 

Franck Mauconduit (CEA Paris-Saclay, France)

Franck Mauconduit a obtenu son doctorat en 2011 à l'Institut des neurosciences de Grenoble. Avec cinq ans d'expérience en tant que chargé de collaborations scientifiques chez Siemens Healthineers, il a développé une forte expertise sur les techniques d'acquisitions IRM, la programmation de séquences et la reconstruction d'images. Depuis 2019, il est ingénieur chercheur au laboratoire NeuroSpin du CEA Paris-Saclay, au sein de l'équipe de développement méthodologique pour l'imagerie à ultra-haut champ magnétique. La mise en service récente de l'IRM Iseult pour l'imagerie cérébrale humaine à 11.7T a orienté ses activités scientifiques vers les méthodes d'acquisitions utilisant la transmission parallèle pour limiter les effets de l'inhomogénéité du champ radiofréquence. L'objectif de ce travail est d'apporter des méthodes d'acquisitions optimisées à l'exploitation de l'IRM Iseult pour des applications en recherche clinique et en imagerie fonctionnelle.

 

Maja Musse (INRAE, Rennes, France)

Maja Musse est titulaire d'un doctorat en biophysique de l'université Louis Pasteur à Strasbourg. Elle est chercheuse à l'UR OPAALE d’INRAE, où elle est responsable de l'équipe de recherche IRM-Food. Ses recherches portent sur la caractérisation et compréhension des changements structuraux et des transferts de matière lors de la transformation  des tissus végétaux et des aliments via des approches innovantes en IRM et RMN à bas champ.

Valéry Ozenne (CRMSB, Bordeaux, France) 
Valéry Ozenne est chargé de recherche au CNRS et rattaché au CRMSB (UMR5536) à Bordeaux. Il a obtenu son doctorat en 2012 à l'Institut de Biologie Structurale de Grenoble. Ces travaux actuels portent sur le développement de nouvelles méthodes d’imagerie par IRM dédiées à la radiologie interventionnelle. Il s’intéresse particulièrement à l’imagerie de température et à la dosimétrie en temps réel pour le suivi de procédures de thermoablation.

 

Elodie Parzy (RSMB, Bordeaux, France)

Le Dr Elodie Parzy est une physicienne diplômée de l'Université Pierre et Marie Curie (Paris, France), spécialisée en IRM, au Centre RMSB (Bordeaux, France). Ses travaux de recherche se sont orientés depuis plus de 15 ans vers l’imagerie moléculaire à bas champs magnétiques, en se concentrant sur la polarisation nucléaire dynamique (DNP) via l'effet Overhauser. Son expertise l’a récemment menée à être WP leader du projet européen PrimoGaia, dont l’objectif était de développer une IRM à ultra-bas champs 200 µT permettant de localiser sur les images un agent de contraste intelligent susceptible de détecter une activité biologique.

  

Hervé Saint-Jalmes (Université de Rennes, France)

Hervé Saint-Jalmes est docteur de l'Université Paris-Sud avec pour sujet de thèse la conception d'un appareil d'IRM corps entier à bas champ. Il a été responsable du département Recherche et Développement d’une PME française produisant des systèmes d'imagerie par résonance magnétique (IRM) avant d’être nommé professeur en génie électrique en 1993 à Paris puis Lyon.  Il a ensuite été professeur à la faculté de médecine et au LTSI de l’Université de Rennes 1 et rattaché au Centre Régional de Lutte Contre le Cancer Eugène-Marquis. Il est professeur émérite aujourd’hui.  Outre le développement d'instruments pour l’IRM, il s'est intéressé à l'imagerie optique non invasive des milieux diffusants.

 

Julien Sein (Centre IRM-INT, CNRS-AMU, Marseille, France)

Julien Sein est ingénieur de recherche CNRS au sein de la plateforme IRM de l’institut de Neurosciences de la Timone à Marseille. Il est diplômé d’un doctorat en chimie de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon, doctorat accompli au Centre de RMN à Très Hauts Champs de Lyon où il a étudié la dynamique de protéines cristallisées avec la RMN du solide. Il a poursuivi sa carrière avec un stage post-doctoral de 4 ans au Center for Magnetic Resonance Research de Minneapolis (USA) où il a cherché à caractériser différentes pathologies cérébrales avec l’aide de l’IRM à 7T. Enfin son parcours s’est poursuivi à Marseille, d’abord au CEMEREM puis à l’INT, sur des postes d’ingénieur de recherche en IRM 3T et 7T, pour accompagner des projets de recherche en neurosciences. 

 

Athanassia Sotiropoulos (Inserm, Paris, France) 

Athanassia Sotiropoulos est docteur en biologie cellulaire et moléculaire et directrice de recherche à l'Inserm. Elle dirige avec Pascal Maire l'équipe « Développement, génétique et physiopathologie neuromusculaires » à l'Institut Cochin. Ses travaux scientifiques portent principalement sur la signalisation cellulaire et transcriptionnelle et sur la compréhension de la plasticité du muscle squelettique adulte. Depuis décembre 2021, elle dirige le GIS FC3R, centre de référence français pour toutes les questions relatives au principe éthique des 3R (Remplacer, Réduire, Raffiner).

 

Magalie Viallon (CREATIS, Lyon, France)

Magalie Viallon a obtenu sa maîtrise en physique en 1996 et son doctorat en physique nucléaire à l'Université Claude Bernard Lyon 1 (Lyon, France) en 1999. Pendant sa thèse, elle a passé six mois au Centre de microscopie in vivo de l'université Duke, en Caroline du Nord (États-Unis). Elle a travaillé pendant un an à l'Université Johanes Gutenberg, Mayence (Allemagne), en tant que chercheur post-doctoral. Entre 2001 et 2006, elle a travaillé pour Siemens HealthCare (France) en tant que chercheur clinique et ingénieur en applications avancées. De 2006 à 2014, elle a été le chef physicien MR en charge de la plateforme MR clinique du service de radiologie des Hôpitaux Universitaires de Genève (Suisse). Elle est actuellement chercheur senior du service de radiologie du CHU de Saint Etienne, et affiliée au laboratoire CREATIS (UMR CNRS 5220, U1044 Inserm). Mes thèmes de recherche concernent le développement de méthodes d'Imagerie par Résonance Magnétique utilisant des approches multimodales et paramétriques pour la recherche translationnelle en radiologie concernant tous les organes mais avec un intérêt particulier pour la cardiologie et les infarctus aigus du myocarde en particulier.
 

Mélissa Vincent (Philips France, Responsable des partenariats Recherche et Innovation avec le CHU Rennes)

Ingénieure en génie biomédical (UTC), Mélissa Vincent a complété son parcours par un doctorat en RMN de diffusion in vivo (CEA/ Université Paris-Saclay). Elle s’est ensuite tournée vers l’industrie en rejoignant Philips, où elle pilote depuis plus de trois ans un partenariat de recherche et d’innovation avec le CHU de Rennes. S’appuyant sur un socle technologique fort (imagerie, monitorage, pathologie numérique et IA), cette collaboration originale avec un établissement de santé de premier plan a vu le développement durable s’imposer peu à peu comme une thématique incontournable, en particulier en imagerie interventionnelle. Mélissa a ainsi développé de nouvelles compétences sur le développement durable en santé et occupe la fonction de référente RSE France depuis septembre 2023.

 

Angèle Viola (CRMBM, Marseille, France) 

Angèle Viola est directrice de recherche CNRS au Centre de Résonance Magnétique Biologique et Médicale (CRMBM) à Marseille. Après une thèse en chimie à Marseille suivie d’un stage post-doctoral en RMN à Cambridge, elle rejoint le CRMBM où elle étudie différents modèles de maladies cérébrales par IRM et SRM ainsi que la maturation métabolique du cerveau. Elle entreprend en parallèle une activité sur l’imagerie de maladies infectieuses. Elle est actuellement responsable de l’équipe Infection, Inflammation, Métabolisme (I2M).

 

Marlène Wiart (CarMeN, Lyon, France)

Marlène Wiart est directrice de recherche CNRS au laboratoire de recherche sur les maladies cardiovasculaires, le métabolisme et la nutrition (CarMeN) à Lyon. Après une thèse en ingénierie biomédicale à Lyon suivie d’un stage post-doctoral à San Francisco, elle rejoint le laboratoire d’imagerie Creatis à Lyon où elle développe une plateforme d’imagerie multimodale pour l’étude de l’accident vasculaire cérébral (AVC) par IRM. Ses recherches portent sur l’imagerie multi-échelle des cellules à fonction immune, principalement les macrophages. Elle rejoint CarMeN en 2016 où elle est actuellement responsable de l’équipe thématique « Imagerie multimodale de la mort cellulaire et de l’inflammation ».

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